L’open space
Quelque part dans ma bibliothèque je retombe sur ce livre, au gré du hasard, je relis quelques lignes.
‘Il faut constamment ‘performer’ pour montrer qu’on est là, qu’on est actifs à tous les réseaux, famille, amis, collègues, car tout est mélangé.’
C’est dans l’Open space m’a tuer 2009 de Alexandre Isnards et Thomas Zuber.
Déjà à cette époque, il y avait un inconfort face à ce modèle. Dix ans plus tard, le modèle démontre ses faiblesses. L’idéal d’augmentation de la sociabilisation a en fait donné un effet contraire. Malgré l’apparition des murs vitrés, un emploi reste un emploi pour la majorité des gens. La hiérarchie demeure malgré son côté horizontale.
Je teste depuis plus d’un an le format du télétravail et de la virtualisation. Mon idée est de quitter la ville pour établir ma compagnie en campagne. J’ai l’intuition que le concept de la ville est nocif pour l’être humain et l’environnement à moyen terme.